Relance post covid-19 au Togo : c’est l’heure du bilan au niveau des Centres d’Excellence d’Afrique
Le Centre d’Excellence d’Afrique à Impact pour le Développement (CEA Impact) fait le point des activités de ses différentes structures….
Le Centre d’Excellence d’Afrique à Impact pour le Développement (CEA Impact) fait le point des activités de ses différentes structures. L’institution a tenu une réunion avec les membres du comité de pilotage ce lundi, 11 octobre 2021.
En effet, le Centre d’Excellence d’Afrique à Impact pour le Développement est un projet sous régional mis en place depuis 2019. À cette réunion tenue à l’Université de Lomé, les parties prenantes ont procédé entre autres, à l’évaluation des niveaux de réalisation des indicateurs liés au décaissement.
Bilan des activités du Centre d’Excellence d’Afrique
Au Togo, trois structures composent le Centre d’Excellence d’Afrique dont le Centre d’Excellence Régional sur les Sciences Aviaires (CERSA). Il y’a aussi le Centre d’Excellence Régional pour la Maitrise de l’Electricité (CERAMI) et le Centre d’Excellence Régional Vie Durable en Afrique (CERVIDA).
Selon le coordonnateur des centres d’excellences du Togo, kokou Koami, la rencontre a permis de faire comprendre aux membres de pilotage l’importance de leurs rôles dans l’accompagnement des centres d’excellences.
Aussi, les centres d’excellences a-t-il souligné, ne sont pas uniquement destinés aux chercheurs, mais, à tout le pays et ensuite à toute la région. Il faudrait donc suivre de près leur fonctionnement afin de voir si les résultats sont atteints.
« Est-ce que les résultats que vous avez vont nous permettre à nous togolais de vivre mieux dans le domaine de l’agriculture, l’électricité (économisons nous mieux l’électricité ? sommes-nous capable de créer notre propre énergie ?), est-ce que nos villes sont mieux assainis qu’avant ? », s’est interrogé M. Kokou.
Centre d’Excellence d’Afrique, bien suivre le fonctionnement pour rendre compte
Pour le Coordonnateur du Centre d’Excellence d’Afrique, le comité de pilotage doit pouvoir suivre au jour le jour, ce que font les trois centres. Ceci, dans le but de rendre compte non seulement à l’autorité mais aussi à la Banque Mondiale.
En dehors de l’évaluation des indicateurs liés au décaissement, il faut préciser que les parties prenantes ont examiné les contraintes, proposé des approches de solutions ainsi que les perspectives. En effet, les activités de mise en œuvre des centres ont été impactées par la pandémie de la covid-19.
« (…) Je peux vous assurer que pour les deux nouveaux centres, c’est un peu difficile. Mais depuis un moment, nous avons mis les bouchés doubles », a indiqué le coordonnateur. De ce fait, le comité de pilotage devrait œuvrer notamment, dans le respect des mesures barrières, pour obtenir des résultats satisfaisants.
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